Je crois que ça a commencé ce matin. Peut-être en mettant cette chemise à carreaux avec ces lignes si pures, si droites, ces intersections tellement précises. Puis dans le tram, à l’arrivée sur la place du commerce, ces rails qui se croisent à angle droit. Puis au bureau, en entrant, ces dalles en pierre, aucun doute, ce n’était pas une coïncidence...
La vérité m’est apparue : le monde est un goban vide, nous sommes ses pions, cherchant à tout prix à le remplir, si possible à nous connecter.
Mais la vie est un schicho sans breaker...